Révolte Jedi contre l'Empire galactique
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Révolte Jedi contre l'Empire galactique

10 ans après le coup d'État fait par Palpatine qui devient Empereur, Il ne reste que peu de jedi, cependant un maître Jedi decide de recruter du monde .
 
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 Armé Impériale

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AuteurMessage
Maître Jedi C'baoth, Joru
Maître Jedi/chef du Gouvernement militaire Rebelle
Maître Jedi C'baoth, Joru


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Date d'inscription : 12/08/2016

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MessageSujet: Armé Impériale    Armé Impériale  EmptyVen 12 Aoû - 22:49

Plan :
I. Histoire de l'Armée Impériale
II. Structure de l'Armée Impériale

I. Histoire de l'Armée Impériale

Durant les dernières décennies de la République Galactique, ses forces militaires étaient extrêmement réduites et si la Marine avait les plus grandes peines à surveiller l'espace républicain, le Sénat ne disposait plus de véritables forces terrestres capables d'intervenir partout dans la galaxie. Les millénaires d'expansion et de conflits avaient laissé la place à une lente et insidieuse décadence tandis que les frontières de la République s'avéraient de plus en plus fragiles. Les forces terrestres de la République devinrent disparates et la plupart des mondes représentés au Sénat obtinrent que les contingents de jeunes gens soient affectés aux forces de sécurité planétaires plutôt qu'envoyés à l'autre bout de la galaxie. Peu de mondes voyaient encore l'intérêt d'entretenir de grandes armées et ceux qui s'étaient dotés de programmes militaires privilégiaient de plus en plus les armées automatisées, suivant l'exemple de la Fédération du Commerce qui alignait les effectifs terrestres les plus conséquents parmi les factions des dernières décennies de la République. Au niveau de la République dans son ensemble, aucun affrontement militaire important ni aucune guerre civile majeure ne s'annonçaient à l'horizon depuis des générations et les conflits d'intérêts se réglaient désormais pour l'essentiel dans les antichambres du Sénat ou des bâtiments corporatistes et gouvernementaux. Les opérations militaires étaient relativement rares et celles qui nécessitaient la présence de forces terrestres importantes étaient devenues vraiment exceptionnelles.

La Guerre des Clones fut un traumatisme pour de nombreuses populations qui durent subir le joug des forces mécanisées de la Confédération et ne durent leur sauvegarde qu'à l'intervention d'armées clonées par les Kaminoans et au courage des dernières unités de l'armée républicaine en activité. De nombreuses voix se firent entendre pour que l'on réactive ou renforce à la hâte les programmes militaires et lorsque le conflit finit par s'apaiser, Palpatine sut tirer parti de ce sentiment d'insécurité pour bâtir la plus grande armée de l'histoire de la galaxie.

Les campagnes de recrutement remportèrent un succès considérable, de nombreux jeunes gens s'avérant désireux de prendre l'uniforme et de contribuer à restaurer la paix et la sécurité dans la galaxie. Très rapidement, ces légions de jeunes volontaires furent endoctrinées et déployées très loin de leurs mondes d'origine. Au lieu de protéger leurs proches ou leurs voisins, ces jeunes hommes et ces jeunes femmes se retrouvèrent à surveiller les populations d'autres planètes et à participer à l'invasion des mondes qui refusaient de rejoindre l'Empire. L'Empereur et ses alliés étaient parvenus à la fois à priver les mondes de l'ancienne république d'une partie de leurs forces vives et à augmenter dans le même temps la puissance du complexe militaire impérial. Les soldats de l'Armée Impériale ne furent jamais aussi fanatisés que les adolescents endoctrinés par le COMPORN ou les soldats de choc stormtroopers mais ils participèrent pleinement à la politique de conquête et de répression de l'Empire. Très vite, le pouvoir impérial fut suffisamment fort pour instaurer des campagnes de conscription obligatoire auxquelles il s'avéra rapidement dangereux de s'opposer.

La grande majorité des soldats de l'Empire assimila sans guère de réticences la propagande continuellement déversée par les recruteurs, les sous-officiers et les agents de liaison du COMPORN. Aux craintes du passé on était parvenu à substituer un sentiment d'appartenance à la force militaire qui restaurerait l'ordre dans la galaxie en soumettant les dissidents aux idées proches des anciens confédérés indépendantistes, responsables de la guerre. Quant aux nombreux mondes nouvellement découverts aux marches de l'espace impérial, leurs populations non humaines devaient être assimilées pacifiquement ou par la force avant de développer une sympathie pour la cause des rebelles et des anarchistes en tous genres. La surveillance constante des officiers politiques du BSI et la présence de nombreux contingents de stormtroopers également chargés des opérations au sol permit d'étouffer dans l'oeuf ou de réprimer sauvagement et rapidement toutes les velléités de contestation au sein des forces terrestres impériales.

Jusqu'à la mort de Palpatine, aucune unité militaire de fantassins ou de blindés ne se mutina, en dehors de quelques escouades isolées, et les leaders de l'Armée Impériale s'appuyèrent souvent sur ce fait pour préserver l'image de leurs forces ainsi que leur propre réputation. Cependant, en de nombreuses occasions des fantassins impériaux conscrits désertèrent ou refusèrent d'exécuter certains ordres particulièrement odieux et payèrent le prix suprême pour leur courage. Et si l'histoire galactique garde la trace de ces bâtiments de la Marine Impériale qui passèrent à la cause rebelle avec leurs équipages à la suite d'une mutinerie ou dont les commandants acceptèrent après leur reddition de changer d'allégeance, peu de gens réalisent que de nombreux soldats anonymes sous l'uniforme impérial prirent parfois à un niveau plus personnel des décisions tout aussi lourdes de conséquences. Les fantassins de l'Alliance qui s'opposèrent aux troupes impériales se mirent rapidement à compter dans leurs rangs une quantité appréciable de soldats qui portaient autrefois l'uniforme gris de l'Empire et après Endor, les premières véritables mutineries dans les garnisons impériales jouèrent parfois bien plus que les assauts rebelles dans la libération de certains mondes. Sans la défection d'unités entières qui prirent les armes et affrontèrent leurs propres amis ou voisins encore voués à la cause impériale, il ne fait aucun doute que l'essor de la Nouvelle République se serait avéré bien plus difficile et long qu'il ne le fut en fin de compte.

II. Structure de l'Armée Impériale

Que ce soit au sommet de sa puissance ou lorsqu'il dut préserver ses derniers bastions, l'Empire Galactique conserva à peu près la même structure à son armée terrestre et nombre de seigneurs de guerre indépendants ne jugèrent pas utile de la modifier si ce n'est au niveau des uniformes et insignes, ou des grades aux titres plutôt ronflants.

L'unité de base de l'Armée Impériale est l'Escouade, qui compte normalement neuf hommes. Toutes les escouades sont homogènes (escouades de fantassins, escouades de tireurs d'élite, d'artilleurs, de soldats du génie...) et comptent huit soldats placés sous l'autorité d'un sergent. Tous grades confondus, les sergents impériaux s'avérèrent les soldats les moins sensibles aux arguments qui amenèrent leurs collègues à déserter ou à se mutiner et cela tient directement au fait que leur recrutement et leur endoctrinement fut particulièrement soigné. Les stratèges impériaux comprirent en effet qu'il leur fallait s'assurer de la loyauté de chaque homme en étant au plus près de lui et puisqu'il était hors de question d'affecter des officiers politiques à chaque escouade de l'Empire, il revenait au sergent la commandant de ne jamais oublier certaines contingences d'ordre idéologique. Durant certaines opérations, un sergent était également autorisé à nommer un caporal temporaire parmi les hommes de son escouade, le chargeant de veiller à l'exécution correcte d'une partie du plan de bataille. Dans les unités de blindés ou d'artillerie, la discipline est aussi forte que l'esprit d'initiative est réduit alors qu'à contrario les tireurs d'élite ou les fantassins éclaireurs sont parmi les plus flexibles des soldats portant l'uniforme de l'Empire. Certaines unités s'avérèrent d'ailleurs capables d'obtenir des résultats équivalents et parfois même supérieurs à ceux des scout troopers ou des stormcommandos. La notion d'escouade en ce qui concerne les véhicules blindés est sensiblement différente car il s'agit généralement de deux véhicules de même type travaillant en tandem. De même, une escouade d'éclaireurs se compose en fait de deux "lances" de cinq hommes chacune et compte non pas un mais deux sergents, chacun en charge de 4 hommes. Cette configuration est jugée préférable au niveau hiérarchique dans la mesure où les missions de reconnaissance impliquent une adaptabilité et des risques très supérieurs à ceux inhérents aux missions d'infanterie classiques.

Quatre escouades peuvent être assemblées en Peloton, dirigé par un Lieutenant assisté d'un sergent-major et les sergents des escouades, ce qui fait un total de 38 hommes au minimum. Pour le tacticien, le peloton est l'unité de taille idéale sur le théâtre des opérations : réduite et donc facile à gérer, elle représente cependant une structure de commandement redondante (quatre sergents peuvent pallier à la mort du Lieutenant ou de son adjoint) qui peut facilement être déployée côte à côte avec une unité d'un autre type : fantassins avec une escouade de blindés, tanks en protection rapprochée d'une unité d'artillerie à grande portée et ainsi de suite. La nature essentiellement offensive des campagnes militaires impériales imposa presque naturellement la création du Peloton d'Assaut, formé de deux escouades de fantassins et de deux escouades de tireurs équipés d'armes lourdes. Cette configuration s'avéra à la fois adaptable aux contraintes du combat dans de multiples milieux et parfaitement efficace pour neutraliser les points de résistance et les camps retranchés durant les opérations d'invasion urbaine. Le Peloton blindé est composé de quatre ou cinq véhicules de même type ainsi que de leurs équipages mais ces effectifs peuvent être doublés dans le cas de blindés légers. Contrairement aux blindés déployés par paires (en "escouade" donc) ou seuls, les pelotons blindés se voient toujours adjoindre deux véhicules de transport qui convoient les pièces, munitions et carburant nécessaires ainsi que les équipes techniques du peloton. La flexibilité institutionnelle des pelotons fait que dans la pratique ils comptent rarement leurs effectifs officiels mais se voient souvent adjoindre une ou plusieurs escouades de spécialistes. Un peloton d'infanterie standard par exemple peut tout à fait se voir augmenté des effectifs d'une escouade d'éclaireurs et d'une escouade de tireurs d'élite si l'on prévoit de l'employer dans des missions de longue durée au coeur d'un territoire ennemi hostile. A l'inverse, les pelotons assemblés pour les opérations spéciales sont fréquemment divisés en escouades mixtes chargées d'accomplir certains objectifs spécifiques dans le cadre de la mission rassemblant l'ensemble du peloton.

La Compagnie rassemble quatre pelotons placés sous la tutelle d'un capitaine secondé par quatre officiers d'état-major au grade de lieutenant. Chacun de ces quatre officiers a son rôle spécifique au sein de la compagnie : commandant adjoint, officier responsable de la maintenance, officier médical et officier technique. Ces lieutenants ont sous leurs ordres 23 hommes indépendants des pelotons qui comprennent 4 médecins, 8 intendants et 11 techniciens, formant à eux tous les services annexes. Au total, les effectifs des quatre pelotons, de l'état-major et des services annexes font d'une compagnie une unité aux effectifs théoriques de 152 personnes. Toujours en théorie, la Compagnie est la plus petite unité à laquelle puisse être affectée un contingent permanent de droïdes et ceux-ci sont normalement dédiés aux services annexes, leurs effectifs pouvant dépasser la centaine de droïdes.
Au niveau de l'artillerie, la compagnie est dénommée "batterie" et ses effectifs sont de 175 hommes qui sont répartis soit en 16 pièces d'artillerie lourde, soit en 32 pièces d'artillerie légère. De tels effectifs qui sont en majorité dédiés à l'entretien des pièces font que les contingents de droïdes affectés aux batteries d'artillerie dépassent rarement les 70 unités.
Les compagnies blindées sont en fait des compagnies mixtes infanterie/véhicules d'attaque/artillerie sur répulseurs. Leurs effectifs varient de 200 à 232 hommes et comprennent quatre pelotons d'infanterie, trois pelotons blindés et un peloton d'artillerie. Différentes configurations sont possibles et peuvent modifier cette répartition selon le profil de mission de la compagnie blindée qui compte entre 20 et 40 chars ou véhicules équivalents (y compris bipodes impériaux).
Diverses autres configurations de compagnies sont possibles selon que l'on a affaire à une compagnie de percement, de garnison ou autre, l'articulation se faisant principalement au niveau des pelotons, de leurs effectifs et de leur composition.

Le Bataillon comprend sur le papier quatre compagnies dirigées par leurs capitaines respectifs sous les ordres d'un Major qui dispose d'un staff spécifique pour établir et faire fonctionner son QG, ce qui porte ses effectifs théoriques à 810 hommes dont 608 combattants. La composition exacte du bataillon varie cependant considérablement autour de ces chiffres statistiques car il est rare qu'il soit assemblé autour d'un seul type de troupes. Les Bataillons sont en fait généralement considérés comme des forces opérationnelles aux profils de missions spécifiques, ce qui impose donc l'affectation de compagnies et de pelotons en rapport avec ces profils. Les bataillons d'assauts sont parfaitement mixtes alors que les bataillons à répulsion surtout prévus pour occuper rapidement de vastes territoires en cours de pacification peuvent inclure jusqu'à 115 véhicules et 40 motojets ainsi que leurs équipages en plus des 608 combattants de l'ordre de bataille standard. Le bataillon d'artillerie compte jusqu'à 96 pièces montées sur répulseurs alors que les 93 tanks et 55 landspeeders qui forment un bataillon entièrement blindé s'accompagnent généralement d'effectifs dépassant le millier d'hommes. Enfin, on assemble parfois des bataillons d'opérations spéciales qui ne comptent que 746 hommes mais dont les 544 combattants sont parfaitement capables de mener les opérations de raids stratégiques et d'invasion de QG propres à la guerre éclair.

Le Régiment est une unité systématiquement dotée d'un QG fixe dès qu'il est possible de l'établir sur le théâtre des opérations. Ce QG est non seulement le coeur névralgique de la structure de commandement du régiment mais abrite aussi son hôpital et ses ateliers de réparation. La plupart des régiments sont assemblés autour de quatre bataillons. Si l'on considère l'exemple du régiment d'infanterie typique, deux de ces bataillons sont composés de fantassins, le troisième est un bataillon d'assaut mixte (infanterie/blindés/artillerie en proportions diverses) et le dernier entièrement composé de véhicules à répulseurs destinés à transporter l'ensemble du régiment. Au total, ce régiment type compte 3.530 hommes dont 2.558 combattants et dispose de 130 véhicules ainsi que de 200 droïdes. Tous ces effectifs sont dirigés depuis le QG et placés sous la responsabilité de l'officier commandant du régiment, un lieutenant-colonel. Si le régiment d'infanterie ainsi décrit est considéré comme une unité parfaitement autonome, son pendant le régiment blindé n'est normalement jamais déployé seul quant à lui mais uniquement au sein d'une force plus vaste, le Groupe de Bataille.

Le Groupe de Bataille est dirigé depuis un QG qui nécessite à lui seul 274 personnes. L'état-major comprend 9 officiers dont 4 majors et 5 lieutenants-colonels qui rendent tous compte au Colonel en charge du Groupe. Comme sa dénomination l'indique, un Groupe de Bataille n'est pas considéré comme une unité de garnison ou de police mais comme une force d'attaque qui compte au minimum 14.410 hommes, 10.219 d'entres eux étant effectivement des combattants. Ces effectifs ne sont pas répartis en un nombre fixe de régiments, bataillons ou pelotons car le Groupe de Bataille est à l'image du peloton considéré comme une unité opérationnelle flexible. Dans le cadre d'opérations à grande échelle de l'Armée Impériale, certains "groupes de batailles auxiliaires" sont en réalité entièrement composés de volontaires de la CompForce (la division armée du COMPORN) ou d'une escadre de chasse/bombardement qui compte 40 appareils répartis en 10 ailes de 4 appareils (pour un total de 12 bombardiers, 4 TIE de reconnaissance et 24 TIE de chasse/soutien/couverture aérienne).

Le Corps d'Armée est souvent considéré comme la version supérieure du Groupe et existe là encore dans une optique essentiellement offensive. Le Corps est normalement intégré à une force spatiale dans le cadre d'une mission conjointe Marine/Armée qui vise à s'emparer d'un monde en neutralisant ses forces de défense spatiale avant de débarquer les forces d'invasion. Le Major Général qui commande un Corps de Bataille est bel et bien un général en campagne. Il a sous ses ordres des effectifs minimaux de 69.199 hommes dont 48.541 soldats. Plus de 2.500 véhicules à répulseurs et au moins 371 blindés forment l'ossature de sa capacité de déplacement au sol. Enfin, son QG protégé par 152 soldats indépendants de la structure du Corps inclut 50 agents du Bureau de la Sécurité Impériale, 492 officiers et responsables de la logistique et au moins un officier des Renseignements Impériaux servant d'agent de liaison. Cette taille est considérée comme minimale et certains Corps d'Armée formés pour s'emparer de mondes très défendus sont bien plus considérables.

Sur le papier, un minimum de deux bataillons et jusqu'à quatre Corps peuvent être rassemblés et former une Armée. Cette unité placée sous le commandement d'un Général est considérée comme une fiction opérationnelle car sa nature est en fait fondamentalement administrative. Il est rare qu'une Armée soit déployée en totalité bien que n'importe laquelle de ses composantes puisse être envoyée au feu et que le Général puisse exercer son autorité sur ces subdivisions quand bien même la majeure partie de ses effectifs resterait en garnison. Le QG d'une armée comprend environ 1.855 personnes et 4.000 droïdes. On lui rattache généralement près de 200 agents du BSI, 471 combattants de la CompForce et au minimum quatre agents de liaison des Renseignements Impériaux. Une armée est normalement considérée dans l'ordre de bataille impérial comme une force de garnison, d'occupation ou une division administrative d'une force d'invasion en charge d'un territoire planétaire qui peut aller de la métropole à l'ensemble d'un monde. De fait, il n'existe pas deux armées identiques en dehors de la composition standardisée de leurs Quartier Généraux.

Dans la même logique, l'Armée de Système est pour l'essentiel l'abstraction administrative qui rassemble toutes les forces terrestres de l'Empire dans un système stellaire. Placée là encore sous le contrôle d'un Général, l'Armée de Système inclut des éléments de la CompForce, des Renseignements, du BSI ainsi que plusieurs bataillons de stormtroopers. Le QG est considéré comme l'autorité militaire suprême des forces terrestres dans le système et rend compte directement à la fois au Moff local et à la hiérarchie de l'Armée Impériale.

L'échelon ultime de la structure de l'Armée Impériale est l'Armée Sectorielle. Le Maréchal de Surface qui la commande peut avoir des effectifs très variables sous ses ordres mais la configuration standard de l'ordre de bataille indique qu'une armée sectorielle comprend 1.180.309 hommes dont 774.576 combattants et qu'elle dispose de 66.640 véhicules à répulseurs et 13.992 blindés. Bien que les secteurs périphériques ou au contraire stratégiques de l'Empire soient dotés d'armées sectorielles aux effectifs d'une diversité considérable, ces chiffres peuvent être considérés comme une estimation moyenne des effectifs déployés par l'Armée Impériale dans l'ensemble d'un secteur pacifié. Ils ne tiennent pas compte des Bataillons et Corps d'Armée dédiés à l'occupation de mondes spécifiques, ni aux forces d'invasion en transit dans le secteur ou qui se préparent à soumettre les dernières poches de résistance. De même, l'affectation des stormtroopers est réalisée indépendamment de la structure militaire et il y eut des secteurs de l'Empire ou leurs effectifs sont dans les faits largement supérieurs à ceux de l'Armée Impériale.

Il n'existe pas de "grand maréchaux de l'Empire" qui seraient l'équivalent pour l'Armée des Grands Amiraux de la Marine. Sous Palpatine, les Moffs étaient considérés comme les représentants directs de l'Empereur et en dehors de quelques individus au statut particuliers (conseillers impériaux, Grands Moffs, hauts responsables du BSI ou du COMPORN, etc...), ils étaient dans la pratique l'échelon suprême du commandement de l'Armée Impériale. Ils sont après tout les administrateurs territoriaux de l'Empire et en dehors des campagnes d'invasion réalisées conjointement avec la Marine, l'Armée Impériale ne possèdait pas (et ne nécessitait pas d'après les théoriciens impériaux) un véritable commandement central unifié contrairement à la Marine dont la nature implique une mobilité et une coordination permanentes à l'échelle de la galaxie. Les promotions aux grades supérieurs (Major Général, Général, Maréchal...) étaient organisées directement par une commission composée des Moffs les plus influents, le plus souvent en présence de l'Empereur ou d'un de ses portes paroles. Dans les faits, bon nombre de Moffs ou de Grands Moffs avaient d'ailleurs également le titre honorifique de Maréchal et exerçaient directement le commandement des forces terrestres de leur juridiction...

Lorsque les Vestiges de l'Empire virent le jour, le Grand Amiral Pellaeon parvint à obtenir le commandement des forces terrestres de l'Empire en plus de celui des restes de sa flotte militaire mais de nombreux hauts responsables des Vestiges conservèrent une tutelle plus ou moins discrète et efficace sur certains hauts gradés de l'Armée Impériale.

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